mercredi 30 novembre 2011

Quelle lecture faisons-nous des résultats des élections législatives 2011?

Le scrutin du 25/11/2011 est un événement particulièrement marqué par la vague populaire des rebellions qui inonde le monde arabe ainsi que certains pays occidentaux n’ont pas échappé à cette contagion. Par la force des choses telles que la situation géographique de notre pays ne fait pas l’exception. Se situant privilégiement, et zonalement en face des Amériques, au sud de l’Europe. La renaissance d’une certaine démocratie s’avère imminente. Dans le cadre qui doit prévaloir le changement est inévitable. La lecture que je fasse de cette élection est la suivante : Le printemps arabe est la force motrice qui a conduit aux changements tant espérés. L’éveil sur la notion de la démocratie des populations tant endormi. Restaurer les décennies perdues par la gouvernance oligarchique. La perte de la confiance dans les engagements des partis traditionnels qui menaient des politiques de gestion loin des espoirs populaires. Ce ci a détérioré la crédibilité de ses formations qui se veut politique. Le parti de la justice et du développement (PJD) avait sondé l’opinion publique, il était convaincu de remporter les élections s’il exploite les pistes de la vérité, et de ne promettre que le programme dont il est sure de gagner, de réaliser sans trop de dégâts. Telle est leur politique pour réussir ce challenge. Donc les électeurs étaient devant un choix premier de son genre pour favoriser un parti peu connu des couches populaires. C’est une aventure disant peu commode dont on ignore sa façon d’agir le cas échéant. Faire doter un tel parti d’une confiance quasi-totale relève du domaine de l’impossible, mais choses dues choses faites. Devant le PJD le problème de l’alliance pour la formation d’un gouvernement homogène, harmoniser dans sa façon d’agir. Une coupure de gestion avec les mauvaises habitudes du passé à bannir. Le PJD est un parti tournant vers l’avenir, il doit par intérêt et obligation rompre avec les partis traditionnellement motivés par leurs propres intérêts et sauvegarde de leurs biens. Devant le nouveau gouvernement de coalition un tableau mosaïque de problèmes engendrés par la conjoncture économico-financière et sociale, tamponné par le printemps arabe, ciblé par certaines medias étrangers en critiquant l’arrivée des PJDistes au pouvoir pour gouverner le pays. Réduire la dette du pays est l’une des priorités auxquelles doit s’atteler cette formation pour démontrer leur raison de conduire ce pays au bon rivage. Conduire les chantiers de développement (l’enseignement, la santé, le chômage, la dette publique..) par des ministres ayant une responsabilité double devant le chef du gouvernement et devant le parlement. Les ministres leurs responsabilités ne doivent pas se limiter à la gestion technocratique des affaires étatiques. IL convient de faire abstraction des liens de camaraderies, de liens familiaux lors des choix, afin de réussir cette coentreprise nationale. L’enjeu est de taille, le PJD est dans une épreuve où il doit démonter sa bonne gouvernance, afin d’éviter le choc thermique que les RNIstes et les PAMistes attendent au tournant avec patience. Le sort du pays est entre les mains du parti en question durant les cinq années avenir, à défaut d’élections anticipés le cas échéant. L’élection législative du du vendredi 25/11/2011 ont permit aux marocains de s’exprimer ouvertement, librement, et de choisir l’homme de la situation qui sera responsable devant ses les populations qui l’on porté au siège du gouvernement.

mardi 29 novembre 2011

Démocratiser : La transparence, instituer l’égalité des chances.

Question posée à bon scient, plut tôt que voulons nous du PJD ? Premièrement il doit honorer son engagent tant évoqué lors de ses meetings vis-à-vis de la population électorale qui a placé sa confiance en eux. Satisfaire les attentes du corps électoral. Le PJD est un parti de souche marocaine a vision moderne mais qui trouve ses convictions dans la religion islamique sans trop polémiquer cette notion, le parti en question a promit de venir en aide aux couches populaires pauvres du pays. Cette population est un réservoir électoral que les candidats sachent bien défendre sans eux ils n’auront pas à se voir siéger au parlement. Le défi est grand vis-à-vis des populations, qui ont voté « PJD » soient en qualité de militants ou sympathisants, ils ont choisi cette formation en espérant qu’ils seront capables de réaliser certaines chères revendications que leurs prédécesseurs n’ont pas accompagné de satisfaction. Donc en quelque sorte tous les espoirs de la masse populaire se reposent sur les efforts que produira ce parti. Réaliser les programmes touchant le chômage qui fait tache d’huile sur les toiles dans les annales de plusieurs gouvernements et qui touche 30% des jeunes à l’âge de travailler, la santé est une priorité nationale que les responsables ont relégué au dernier rang, l’enseignement mérite une collégialité pour étude et décision dans les meilleurs délais, combattre la corruption ce fléau social sous estimé qui a dénigré la vie politique du pays , la transparence, l’égalité des chances sont les objectifs primordiaux et le souhait chère aux marocains, tels sont les priorités que le nouveau gouvernement doit s’atteler à réaliser pour garantir une autre percé lors des élections 2016. La réussite du PJD est qualifiée par plusieurs medias étrangers comme étant un résultat de longue halène sans faire défection aux valeurs du parti qui sont les leurs. La formation du gouvernement est pour très bientôt, cette formation sera mise sur la sellette afin d’explorer le bien fondé de la gestion gouvernementale de ses membres constituant la nouvelle vision d’équipe sous la direction du parti en question. Sans dramatiser les effets ce gouvernement trouverait sans doute des difficultés tant sur le plan gouvernance gestionnaire que sur le plan prévisionnel vis-à-vis de la conjoncture économique qui prévaut dans le monde entier. Notre inflation est de 6%. Le parti est dans l’obligation d’épouser certaines idées et méthodes qui n’étaient pas les siennes. Ce bouleversement politique est le premier de son genre au Maroc, depuis son accession à l’indépendance en 1956. Ce pays n’a jamais eu un tel parti avec un score de 107 sièges parlementaires propres à lui. Est-ce ce parti est capable de faire face à l’opposition qui sera certainement constitué par d’autre partis extra gouvernement ? Relevé ce défi fait partie de ses ambitions et gagné cette bataille politique est du domaine de l’impossible si les efforts ne seront pas conjugués au conditionnel et au pluriel. Le risque d’échouer n’est pas absent, il n’est pas loin aussi que la réussite soit du coté du PJD garanti par ses membres qui ne cessent de réclamer le droit de diriger ce pays. Je vous souhaite bonne chance.

mardi 22 novembre 2011

Le Maroc et le PNUD.

Contester et critiquer les scores figés par l' organe onusien le PNUD n'est pas sûrement la bonne solution pour y répondre hâtivement. Oui la certification du classement universel de notre pays qui est relégué au 130 /187 e rang certainement après la Palestine (114) et avant l’Irak (132) , notre pays figure dans le dernier 1/3. le Maroc n'est jamais victime comme le prétendent les responsables gouvernementaux en tête le HCP. Le PNUD est un organisme international de l' ONU jouissant d'une renommée mondiale. Les avis de ses experts et conseillers sont des observations et des ordres pour redresser les balances d'échanges et le développement d'économie le cas échéant. Ses avis sont pris en considération par les organismes faisant objet d'observations ou réflexions. On ne peut les mettre en doute sous prétexte qu'ils sont mal informés ou encore induits en erreur, ne connaissant pas les réalités du développement de notre pays comme le prétendent nos responsables. Comment nous explique le HCP cette dégringolade vertigineuse sans merci en reculant de 16 places? Quelle politique à suivre pour essayer de gagner quelques places en avant? Ceci sème certainement des doutes dans les chiffres qu'avance le gouvernement sur le taux du développement socio-économique, le taux du chômage, sur le taux indexé du PIB, sur le taux de l'inflation, sur le volume de nos exportations… Notre pays n'a pas résorbé le problème de la scolarisation des petits marocains, surtout dans les milieux ruraux, la perdition scolaire et l'absentéisme sont omniprésents surtout dans nos écoles primaires. L'analphabétisme est domicilié chez nous, chaque année on crée un programme pour combattre ce fléau sans atteindre les normes demandées par le FMI. Tant que cette maladie existe, le développement des ressources humaines est peu probable, la croissance devient un mirage, voir impossible à réaliser. Pour grignoter quelques places pour un éventuel classement avantageant nous lors de l'année 2012 reste un énigme. Pour le citoyen simple que je suis , je ne constate aucun changement. Les prix flambent dans les marchés et magasins nationaux toutes marchandises confondues. Le citoyen marocain payé au SMIG ou encore le fonctionnaire ne sentent ni le développement ni la croissance du revenue de ce citoyen moyen que le HCP nous raconte au point de nous en dormir debout et ou nous en rhumer sur les antennes radios et TV. Comment peut on croire comprendre que l'inflation est à 6% alors que les prix brûlent sur les places !!!!! Le chômage est au dessous de 9% alors que nos rues débordent des sans travail. Les légumes, les fruits, les céréales leurs prix ne descendent jamais au dessous de 6 à 10 dirhams le KG, alors qu'on témoigne à notre pays comme étant un pays producteur d'agrumes, de céréales... Quant à l'augmentation des salaires de 600 DH, elle reste dérisoire et ne couvre même pas la facture de l’électricité, elle reste en dessous des espoirs et souhaits des citoyens sans compter d'autres besoins primordiaux pour la survie de la famille. Le comble dans cette augmentation, que les retraités ne sont pas concernés, sans doute le besoin est amplement senti qu'aussi bien dans cette tranche de gens qui ont travaillé durant 40 ans au service de la nation que d'autres. L'ignorance totale est le prix à valoir pour eux. La politique des salaires des actifs et des retraités nécessite une mise au point pour influencer les experts mondiaux qui valoriseront l'effort du pays sûrement. Améliorer la performance de la rentabilité du pays, c'est adopté des programmes ambitieux argumentés de solides propositions budgétaires. Cesser les propagandes électorales, voir de face les possibilités du pays et conjuguer les efforts selon nos réalités. Créer des emplois, encourager les entreprises à maintenir leurs employés, à ne pas fermer pour en déclarer sommairement la faillite, encourager la scolarisation, motiver les enseignants, les médecins, les ingénieurs ... Pour surmonter ses difficultés, le Maroc a besoin de la conjugaison des efforts de tous les citoyens en commençant par le choix du vote du vendredi 25/11/2011, afin de s'en passer et d'éviter les observations cruciales, cruellement dicté par le PNUD. La contestation et la mise en doute de son rapport à l'occasion de chaque édition ne peut pas devenir une question de rancune ou de règlement de compte envers notre pays comme on peut l'entendre quelque part. Si le royaume n'arrive pas à améliorer la performance de sa balance commerciale à l'importation, à l'exportation, et si la maîtrise de l'élaboration du budget n'est pas compatible avec les vrais réalités marocaines le résultat en déduction est voué à l’échec sans doute. Le pouvoir d'achat est bafoué, il se résume par l'endettement des gens. Le gouvernement a encore une fois a contesté ces scores et appelé à la révision des critères de classification qui sont les leurs, sur quoi faut il les convaincre? Dans le cas contraire et pour ne pas rester tributaire des actions que le PNUD serait dans l'obligation de renouveler à chaque édition annuelle, il faut se mettre au travail, réfléchir aux projets valeur ajouté, créer des emplois encourageant le pouvoir d'achat. La classification du PNUD est une forme servant à attirer l'attention des gouvernements dont leurs économies et croissances humaines laissent à désirer, ou encore sont en berne, afin d'éviter une crise cardio-economique.



vendredi 18 novembre 2011

Une maman à vingt ans

Juridiquement, et humainement on peut avoir deux mamans, habituellement,une mère biologique et autre adoptive, mais le hasard peut en décide autrement, on peut aussi avoir une en sus une troisième le cas échéant à un âge avancé. Le tissage de bonnes relations entre deux êtres humains résulte de la chaleur et le bien être humain que témoignent certaines relations. De cette relation peut en découle une bonne appréciation mutuellement partagé. Débarquer dans une aussi grande ville que la mienne ou j'avais vu le jour demeure un énigme à résoudre, et un problème crucial constaté sans regret. Pousser par le besoin à vivre dans une ville incognito pour moi relève un défi de taille. Dans un environnement qui n'est pas le mien me posait un tas de question quant à mon adaptation à la nouvelle vie qui s'ouvrait pour m'y accoutumer. Les rencontres se font à la légère sans profonde connaissance, et souvent le travail joue le facteur commun entre les anciens et les nouveaux arrivants. Jeune homme d'âge que j'étais, débutant dans un secteur publiquement connu par ces relations mufti-caractères jouant des bonnes relations entre les individus, et conduite par l'instinct humain. Ayant débuté dans un service dont je ne connaissais personne, en plus venant d'une ville marquée par son éloignement, à l'orientale se trouvant à plus de cinq cent kilomètres. Travailler dans la capitale n'était donné à tout le monde, c'était mon rêve. Héritier d'un ensemble d'habitudes, de raisonnement, de vision des choses, tout ce là est caractérisé par une mentalité à l'orientale presque bédouine. En plus mon langage utilisé n'est pas le même que celui de la capitale qui est plus modéré,et donc il faut se conformer à la nouvelle vie pour y réussir son challenge. IL faut obligatoirement pour garder de bonnes relations épouser le langage parlant, le maîtriser, en suite les tisser sur des bases nouvellement découvertes. IL faut aimer son travail et son environnement avec son climat, témoigner un certain respect aux collègues. Par un beau matin d'été, au rayons du soleil à la rbati luisants et claires illumine le ciel de ce huit août mille neuf cent soixante treize qui restera graver dans ma mémoire et dont je souviendrai toute ma vie. Après avoir passé en revu, et être présenté aux nouveaux collègues par une responsable. Le chef du centre me confiait la responsabilité d'une section en tant que responsable. Le climat était favorable pour moi, ce que j'avais senti après quelques semaines de mon exercice. Malgré mon langage en arabe dialectal qui n'était pas compris par mes collègues, j'optais alors pour l'utilisation de ma deuxième langue, afin de dissiper le nuage de la mal incompréhension. Au fil des semaines je me voyais ma relation s'éternisait avec eux. Un personnel facile à vivre, professionnellement compétent, humainement remarquable, ce ci favorisait un climat de confiance. Après s'être intégrer dans la nouvelle société avec prudence, afin d'éviter toutes éventuelles surprises, au risque de me coûterait peut-être ma fonction, pour moi cette sanction était à éviter à tout prix. Le destin, ma chance ont mit sur mon chemin un nombre important d'amis, que nous demeurerions par la suite des inséparables. La plus part d'eux font partie aujourd'hui de ma vie de mes annales personnelles et que leurs amitiés restera à jamais graver comme une couronne d'amour que je témoignerai pour ces gens qui m'ont accepté comme j'y étais. Je distingue parmi mes amis une grande dame au grand et généreux cœur, une dame de couleur métis, brune, de taille moyenne, ronde de visage, aux cheveux noirs ondulés, avant de se voiler ultérieurement, habillée en européenne, à la marocaine aussi souvent que possible. Cette dame s'appelait Jamila , elle porte bien son prénom dans tous les sens. Cette dame malgré sa responsabilité administrative, elle avait toujours un sourire inséparable de la lueur de son visage rayonnant aux lunettes foncées. Jamila était une dame fonctionnaire audacieuse, illustre, elle incarne une valeur particulière rare de nos jours. Elle possédait tous les ingrédients y compris une très élégante façon de convaincre , une façon de disculper les problèmes entre collègues, elle était toujours sollicitée pour arbitrer pour dissiper les nuages entre copines, elle avait une capacité personnelle propre à elle pour toute dislocation de malentendu. Cette dame mariée avec des enfants dont elle avait la charge de leurs éducations. Elle était aussi l'agent payeur du service, qu'elle responsabilité!!!!Elle avait un courage particulier qui fait défaut chez plusieurs d'entre nous. Professionnellement, elle était ultra compétente, parmi les meilleurs responsables. Je lui témoigne ma reconnaissance de ma voir former sur place, je lui témoigne aussi son abnégation, son dévouement à son travail, sa façon de percevoir la responsabilité son sens de la citoyenneté responsable, son sens du devoir envers tous. Cette petite dame jouissait d'un respect incomparable et inédit par ses collègues. La parole de cette autodidacte reste l'une des plus logiques et entendue qu'elle soit, que je respecterai jusqu'à aujourd'hui, malgré son âge elle est aussi jeune de cœur comme autrefois pour moi. Avec un grand respect je dédie cette page hors du chapitre de la flatterie, en hommage humble et respect à celle qui est /était maman que je découvre jadis jeune à l'âge de vingt ans. Une maman intentionnée telle que Jamila tout le monde ont veut avoir potentiellement une. Les années, les mois et les jours passent très vite, ils se faufilaient entre les agendas pour constituer un passé composé de rêves peut-être irréalisables et de d'espoir pour l'avenir et un bien être tant souhaité par tous. Après trente deux ans de service le hasard et le destin ont voulu mettre sur mon chemin cette dame avant sa mise en retraite. Si je devais être heureux c’était de la revoir à nouveau avec moi. Administrativement c'était ma secrétaire, mais elle valait plus en terme de compte pour moi, c’était ma mère en quelque sorte sans ambiguïté, j'avais cette ultime conviction. J'aimai cette dame comme étant ma propre maman biologique pour une raison unique que cette dame avait de l'amour à offrir aux gens comme moi. Ses conseils à mon égard en même en tant que responsable sont toujours les bienvenues, mon cœur est ouvert même pour recevoir ses critiques qui étaient de nature rare. Je reconnais pour elle une qualité assez rare qui est la patience qui l'animait sans cesse. Cette dame possédait une mémoire incomparable malgré son niveau d'instruction moyen, elle captait et assimilait d'une façon remarquable. Ah si j'ose dire un mot de plus pour sa mémoire je dirai maman Jamila. En deux mille deux Jamila est mise en retraite, son nom figurerait sur la feuille de présence six mois après son départ. J'avais donné des instructions à sa remplaçante que son nom ne soit enlevé de cette feuille qu'une fois je serai en congé, par respect, par considération, et par reconnaissance à la petite dame perle de diamant noir, rare à en avoir même avec une grosse fortune. Une maman que je découvre à l'âge de vingt ans et que je chérisse de mon vivant. Du font de mon cœur je vous souhaite madame maman une longue vie pour en bénéficier d'une part de votre amour. J e vous souhaite aussi que l'avenir vous comblerait par le plaisir de voir vos enfants et petits enfants s'épanouirent sous vos yeux, pour lesquels j'implore le tout puissant qu'il vous aiderait à les garder en bon santé. Merci maman de me lire émotionnelle ment. Avec toute ma gratitude. Votre adoptive sans animer une jalousie potentielle effrayante le cas échéant avec vos enfants biologiques.
يقول المثل رب اخ لم تلده لك امك وام لم تلدها لك جدتك
لله درك يا امي ياسيدتي ابنك محمد

samedi 12 novembre 2011

dimanche 6 novembre 2011

Aimer son pays c'est aller voter

Devant les compagnes préliminaires qui précèdent le coup d'envoi officiellement marquant l'ouverture des-dites compagnes électorales, ils nous surprennent de l'ampleur des programmes que les orateurs, signent par leurs interventions devant leurs militants en annonçant des programmes qui seraient à la base objectivement défendable par ces gens. Des chiffres de recrutement faramineux, pour l’absorption du chômage, pour la résolution du déficit des programmes inachevés, le lancement des objectifs futuristes pour l'amélioration de la vie socio-économique des citoyens, en promettant des jours meilleurs si les membres du parti en question sont élus. La question légitime qui se produit naturellement, est comment ces programmes n'ont jamais vu le jours depuis 1963 à nos jours? Pourquoi ces leaders ne se sont réveillés que sur la compagne électorale cette année? Est ce vrai nos politiciens viennent de se réveiller de leur hibernation hivernale qui a durée plusieurs décennies? Miraculeusement, l'esprit des candidats des partis leaders G8 en face du G4 s'est épanouit et a procréer des solutions à tous les problèmes de notre pays par un coup de ballet magique du futur staff qui se veut nouveau leader sans contestation pour la nation marocaine aux beaux rivages. Ils promettent la création de 200.000 emplois chaque année. Donc en espace de quelques années nous n'aurons plus de chômeurs chez-nous et en pourra offrir des emplois à nos africains. Ces actions nous incitent à rester vigilent quant au résorption du chômage par de pareilles programmes qui sont en majorité destinés à la consommation télévisuelle. Devant leurs promesses applaudis lors des meetings on peut pas rester optimiste, si on observe en contre partie ce qui se passe en Europe(la Grèce- l’Italie) sont deux exemples témoins que la communauté des 17 cherchent à sauver la zone de l'Euro d'une catastrophe financière mondiale sans équivalent.
On remarque malgré les chiffres que le HCP (haut commissariat au plan) nous fait savoir sur le développement des secteurs productifs, sur l'avancement de la question sociale pour éviter un éventuel choc social des populations en chômage, sur le contrôle des prix près des mandataires dans les halls des marchés intérieurs, sur la veille du gouvernement, et sa vigilance afin d'intervenir en temps opportun le cas échéant. Ce ci n’exclue pas que le citoyen marocain ne remarque point le changement des prix des produits locaux ou importés que les responsables ne cessent de chanter devant les TV et Radio. Notre quotidien est l'observateur sans contestation vis à vis des prix qui flambent le long de l'année, et tout ce que les responsables apportent comme justificatif découlant de la crise financière mondiale, que personne n'est près à digérer, ou accepter sans poser des questions sur l'endettement de notre pays qui s'élève à 56%du PIB . Les rentes de notre pays se basent sur une assiette d'impôts multiple, sur les services, sur l'assemblage des véhicules, sur l'exportation des produits agraires qui se heurtent elles aussi au lobby espagnole qui entrave la circulation des marchandises marocaines en transite, elles sont exposées au vandalisme en signe de vengeance. Malgré les chiffres que le gouvernement ne cesse de faire leurs éloges, le marocain ne sent pas cette amélioration que certains médias pros rééditent à chaque occasion. Les prix des produits alimentaires, d'équipement domestique, d'habillement, des frais de scolarisation, les hôpitaux mal gérés, etc. Aucun allègement n'est ressenti par le citoyen, il doit faire face quotidiennement à la flambé et augmentation des prix. Notre pays est un pays agricole par définition, hormis le phosphate, il n'est pas producteur ni de pétrole ni de gaz. La perdition scolaire est quasiment présente, un tau de chômage loin d'être éradiquer en coup de baguette, des jeunes diplômés universitaires en mouvement de protestation le long de l'année, comment allons-nous croire ces spéculations dirigées les uns contre les autres. Cette situation socio-économique demeure depuis des décennies sans qu'un gouvernement n'est trouvé de solution. Comment croire en ces gens leurs plaidoirie? Avoir confiance dans les partis politiques suscitent énormément d’effort, et personne n'est convaincu de leur propagande électorale. Le Maroc avec son arsenal juridique, rare que d'autre en possède, a besoin de gens fidèles au sacrifice, responsables des actes et engagements pour sauver le pays du carreau de l'échiquier régional. Enfin en concluant le présent commentaire, il m'appartient de noter quelques observations vitales :
s'inscrire sur les listes électorales, et garantir son droit au vote légalement Jouir de son droit à part entière en tant qu'électeur. Voter, choisir la personne susceptible de défendre les intérêts communaux et nationaux. Voter pour des candidats dévoués à l’intérêt public. Une analyse des programmes électoraux des candidats s'impose pour faire un choix convenable. Un candidat ou candidate sans conscience ne pourra pas faire un choix méritant, il faut joindre l'utile à l'agréable pour mener cette opération à bon escient en lui imposant un engagement solennelle devant les assises, et meetings qu'il chapeautait. Les liens familiaux, les connaissances, l'achat des voix, la camaraderie, le voisinage, la flatterie, tous ces adjectifs ne rentrent pas en ligne de compte pour faire un choix qui hypothéquera l'avenir du pays . Pour donner une valeur à son bulletin de vote, il est primordialement et impérativement de voter l'objectif socio-économique du parti, abstraction faite des personnes qui en font candidature. Aimer son pays c'est aller voter, c'est l'occasion pour dire ( oui, non , ou s'abstenir), c'est la participation qui doit l'emporte sur l'abstention qui s'avère négatif.

vendredi 4 novembre 2011

C'est l'idée de l'avenir

Sacrifier son mouton soit à l'occasion d'un rituel ou d'un heureux événement n'a rien de particulier si on observe les règles sanitaires. Oui il serait souhaitable d'adopter l’exécution des sacrifices dans les abattoirs municipaux contre le paiement d'une taxe municipale. Ce ci devrait devenir dans les années suivantes un rituel, une habitude pour sauvegarder notre environnement des dégâts résultant des déchets, à la suite de cette opération. Pour quoi ne pas épouser cette pratique même en dehors de l’Aide , en utilisant le milieu municipal public propre hygiéniquement au lieu de salir l' environnement vital avec tout ce qui peut engendrer comme problème sanitaire nuisible aux habitants du quartier et de la ville toute entière. La question du sacrifice collégial doit mûrir dans l'esprit des citoyens. Cette idée doit être développer en multipliant les explications à l'adresse des consommateurs. L'enjeu est de taille , il mérite la conjugaison de tous les efforts des élus, ,de l'autorité municipale, de la société civile, et principalement la participation des services hygiènes qui s'avère primordiale. Avec la présence d'un médecin vétérinaire sur place à pour but de soumettre la bête au contrôle avant sa consommation afin d'éviter un problème du genre intestinal ou autre. L'idée est nouvelle pour les opposants qui veulent égorger chez eux doivent veiller à la propreté du lieu de sacrifice. C'est l'idée de l'avenir. Sacrifier dans les normes islamiques, conformément à la loi divine, n’exclue pas d’essayer cette procédure que s'il verra le jour, nous y gagnerons beaucoup sur le plan environnement, sanitaire, et sauvegarder la ville de ces déchets inutilement causé par nous même. Sauver nos villes du spectre des ordures est un devoir citoyen, que chacun de nous doit exercer solennellement.

Rendre justice à nos enfants et domestiques.

A la vitesse de la tortue depuis six ans mais enfin il est arrivé sur le bureau du conseil du gouvernement. Le statut du domestique vise à gérer le conditionnement des recrutements des hommes et des femmes qui travaillent dans les maisons,- ils étaient perdus de vu- et qui ont dans la plus part du temps la charge , la garde des enfants à l'aube de leurs âges (bas âges- nourrissons). Cette catégorie n'est pas reconnue comme éducatrice, ou baby-sitter ou encore femme de ménage elle incarne toutes ces fonctions avec un salaire de misère ne dépassant guère les 1000 dirhams/mois. Ce ci dure depuis plusieurs décennies et personne parmi nos élus n'a pu prendre en main ce problème social touchant une couche importante de citoyens malgré certains parmi eux qui méritent un certificat de résidence de l’hémicycle. Avec le développement des sociétés civiles le présumé statut a pu trouver son chemin vers son adoption par les gérants du gouvernement. Pendant cette dernière décennie les filles domestiquées ont connue et vécu des situations dramatiques allant de la torture dans tous les sens du qualificatif jusqu’à' à la brûlure de leurs peaux fragiles de ces êtres vulnérables qui ne cherchaient qu'à aider leurs familles avec le peu qu'elles gagnaient , et si la patronne ait le bon sens de payer les mensualités dans les délais conventionnés entre les parents de ces jeunes filles ou enfants le plus justes. Les médias ne cessent de nous faire part des événements horribles de ces bonniches comme on les appels couramment dans ce milieu de recrutement.. La justice a tranché et condamné plusieurs employeurs de ces fillettes dont l'âge allait de 8 à 12 ans voir 15 ans dans certains cas rare à citer . Tous les marocains se souviennent de la fillette victime de torture de sa patronne qui n'est que la femme du juge dans l'oriental qui a été condamnée à une peine d’emprisonnement. Ce cas n'est pas le premier, et ne sera pas le dernier. Le statut du domestique que les sociétés civiles revendiquaient depuis des années est une image par excellence pour la gestion du travail de cette catégorie, réglemente le sort de chaque recrutement , préserve les droits fondamentaux et obligations des domestiqués ainsi que l'âge légal de leur acceptation par les potentiels futurs employeurs. Les partis politiques n'ont aucun mérite dans ce sens . Le statut est la seule issue garantie pour rendre justice à ces parents qui sont poussés par le besoin et la pauvreté de mettre leurs filles et garçons aux services des familles qui les souhaitent. Le statut vient de combler un vide dans la législation dans l'arsenal juridique marocain qui persistait depuis l'aube de l'indépendance. Je pense fort bien que les moins de 15 ans ne seront plus admis à l'exploitation , dans les travaux pénibles en tant que mains d’œuvres moins chères ou dans les maisons en tant qu'éducatrices malgré elles. Le statut garanti les droits et obligations pour les deux parties employeurs et employés. Je pense aussi que beaucoup de ces petites mains d’œuvres trouveront le chemin des écoles, et un banc en classe leur sera réservé avec l'aide du gouvernement et des élus . Je dirai encore stop aux abus auxquels ils étaient exposés autrefois . Ces gens sont nos concitoyens, sont les hommes et femmes de l'avenir il faut en prendre soins. Enfin je conclu par dire que l’avènement du statut des domestiques est une charte significative de la démocratie de notre pays, et un bon point à témoigner au présent gouvernement, mais les autorités chargées de son application doivent veiller à son respect pour éviter les irrégularités,et déboires , le cas échéant, d’où l'interdiction des mineurs devient formelle par la force de la loi légiférant.

Gérer est un art.

Un conseil qui communal a l'obligation constitutionnelle de gérer une si grande ville, telle que Casablanca, voir un poumon économique par excellence du pays se voit paralyser, est acte anticonstitutionnel et que le ministère de tutelle doit prendre les mesures qui s'imposent pour décongestionner cet état qui persiste depuis le mois de février 2011. Gérer un domaine public d'une importance tel que Casablanca est un devoir obligataire et non honorifique. Casablanca aux multiples problèmes, ne doit attendre ou s'attarde sur un mal entendu entre les conseillers communaux pour des raisons purement personnelles et partisanes de leurs partis, c'est l’intérêt public qui doit l'emporter sur les divergences inter partisanes. Épingler le sort de plus de 7.5 millions de casablancais sans compter les visiteurs est un acte contre le développement de la métropole. Une ville dynamique dotée d' un conseil communal dont les membres insouciants de son avenir La ville est souffrante. Il serait inconcevable que tous les projets vitaux et structuraux restent en stand-by pour une ou plusieurs raisons dû au climat tendu entre les conseillers. En plus gérer est un art qui n'est pas donné à tout le monde. Au de là des conflits entre les membres élus, les inter communautaires ne doivent pas attendre une décennie pour se réunir. Un compromis doit trouver son chemin pour résoudre cette façon incompréhensible de ces gens. Les projets de cette ville se chiffrent par des milliards de dirham, et personne ne possédant le droit de faire obstruction illégale pour entraver les chantiers en vigueur. Les communes sont gérées par des lois constitutionnelles, des arrêtés communaux dont leurs respects est une obligation vis à vis du citoyen élu, qui se met au service de sa commune. Les partis comme on le sait n'ont pas manifesté pour remédier à cet état de chose qui dure depuis février 2011. Le ministère de tutelle doit intervenir avant la fin de l'exercice de l'année 2011, pour remettre les pendules de la place des nations unies à l'heure de la responsabilité, la cause empêchant la réunion du conseil doit être porter à la connaissance des autorités compétentes pour y en trouver le compromis qui s'impose. La situation ne doit pas rester au point mort, car ce ci est nuisible à la bonne marche de la collectivité. Ce ci nous explique clairement le genre d'élus que nous fabriquons par les offrandes des voix de nos votes. En partie la population votante est responsable. L' acte de citoyenneté que ces conseillers doivent accomplir dans des conditions profitant à l’intérêt communautaire. Geler les activités de toute une si grande ville est un crime contre le développement de la ville. Casablanca la fenêtre marocaine sur l’Europe, sur l’Asie, et sur les Amériques mérite un conseil plus communal responsable et dynamique que l'actuel qui est chapeauté par des irresponsables. Donc, il va de l’intérêt de tous que les sociétés civiles casablancaises entrent en ligne pour dégeler la situation qui prévaut actuellement. La justice tranchera en tenant compte de l’intérêt général des citoyens. J’espère que le dépôt de la plainte en question ne tardera pas à se manifester, pour sauver les projets en souffrance, surtout avec le grand projet de transport urbain qui est le tramway casablancais, et enfin l'adoption et la certification de l'exercice de l'année encours. Les partisans de toutes tendances politiques confondues doivent obligatoirement conjuguer leurs efforts pour l’intérêt des communes dont ils relèvent sommairement. J’espère que ce conflit ne se répercute sur les projets communaux ultérieurement, et que l'absence du sentiment national ne trouvera pas de preneur. Aimer ce pays s'est sacrifier son temps pour traduire sur le terrain les promesses avancées lors des compagnes électorales, sans ambiguïté.

Voter est un droit constitutionnel

La nouvelle constitution marocaine ainsi que les précédentes ont toujours garantie le droit de vote à tous les citoyens marocains majeurs d'exercer ce droit légitime, ce lui de voter indépendamment de la personne de son choix. Les MRE (les marocains résidents à l'étranger)sont des citoyens comme le reste de leurs concitoyens à l’intérieur du pays qui votent à l'occasion. Donc le droit de vote reste un acquis personnel pour tous les nationaux. L'exercice de l'opération du vote reste à l'appréciation de chaque marocain libre de faire de son bulletin un devoir national au service de la nation a travers les urnes. Aimer son pays c'est voté pour le choix de son élu selon sa conviction personnel, et assumer une certaine responsabilité envers sa société. Les MRE ont le droit de réclamer eux aussi l'installation des bureaux de vote dans les localités d’où ils relèvent, à l’instar de ce qui se passe pour les autres émigrés du monde. Priver les MRE de ce droit est un acte anti constitutionnel. La durée de séjour dans un pays étranger ne rentre pas en ligne de considération, et n’exclue guère le droit de vote reconnu constitutionnellement aux MRE. Un droit octroyer constitutionnellement aux MRE doit être accompli dans les règles de l'art. Les MRE sont des citoyens marocains à part entière jouissant de leurs plein droit de participation à la vie politique de leurs pays. Ôter le droit de vote à une catégorie de citoyens est un acte inconstitutionnel. Les citoyens à l'étranger comme les autres à l'intérieur du pays doivent participer massivement dans le choix des élus, à condition qu'ils font l'objet d'inscription sur les listes électorales nationales. Manifester pour garantir leurs droit de vote n'est pas prohibé par la loi. Si la chambre des représentants n'a pas prévu la participation des MRE, elle est responsable de son acte dés-institutionnel. Polémiquant le droit de vote. L'état marocain a la responsabilité de la création des bureaux de vote et de garantir leurs fonctionnement. Le vote est un droit sacré, c'est le moyen le plus sur pour participer au choix des élus communaux ou parlementaires pour défendre l’intérêt commun des marocains. IL faut l'exercer à chaque occasion sans le reléguer, ou ignorer.