dimanche 18 septembre 2011

LHAJJA FATIMA N’GADIA, l'épouse de mon oncle, Dieu aie son âme.

Lors de l’annonce d’un décès plusieurs choses se bousculent dans l’esprit du recevant, avec une anarchie incomparable. J’étais très attristé en apprenant le décès de ta maman. Cependant en un lapse de temps ma mémoire est remontée à plus de cinquante ans en arrière afin de conjuguer les circonstances, et de faire parler le passé avec tous ses bons moments et ses mauvais. Eh combien j’étais emporté par cette vague d’annonce qui laissait perplexe devant l’événement inattendu. Une douche froide que j’avais reçu en feuilleton ton message qui ne me donnait envie de lire, un pré sentiment m’avertissait d’une mauvaise surprise, chose qui m’a empêché d’ouvrir le site toute la matinée de ce dimanche. Cette dame était une dame autodidacte. Elle jouissait d’un courage. A cote de mon oncle, elle a prit des positions d’insubordinations contre tout les gens. Elle a enlevé ses enfants, et avait accompli son devoir de mère comme il se doit. Durant toutes les années d’absence de son marie à l’étranger, elle jouait le rôle du père absent et de la mère présente aux coté de ses enfants son seul souci et de les voir avec un avenir. Elle n’a jamais failli à son devoir de mère. Cette grande dame est la descendante d’une grande tribu qui est connu sous le nom de ANGADE, cette tribu se trouve juste en Beaulieu de la ville d’Oujda. Je raisonne que le choc est dure, mais la volonté de Dieu reste au dessus de tous. Nous devons accepter le destin avec son bonheur et son malheur, tel est le bon musulman. Etant donné tout petit, j’ai grandi avec elle. J’ai assisté pendant une vingtaine d’année au déroulement de ses plusieurs années, j’étais comme son fils. Je lui faisais des courses de temps en temps lorsqu’elle a besoin de ses services. J’ai aimé et respecté cette dame. Son autorité est ressentie dans son autogestion de ses affaires quotidiennes, ainsi que son autofinancement qui se découlait de ses prises de ses propres connaissances. Enfin avec l’étalement de toute sa vie, qui n’est que celle d’une dame éclairée, qui connait parfaitement des solutions adéquates aux problèmes posées. Je prie Dieu le tout puissant de l’avoir dans sa miséricorde, Que Dieu le clément l’ait dans son paradis. Un grand salut à cette dame qui vient de nous quitter hajja Fatima n’gadia, que le salut soit sur elle. Mon oncle sentira sans doute un grand vide dans sa vie personnelle. La solidarité et l’assistance de ses enfants deviennent un souhait que personnellement je pense concrètement inévitable. Votre devoir actuellement doit être plus présent qu’auparavant, c'est-à-dire prendre soins de lui. Elle nous quitte à jamais, sans que personne ne puisse que regretter sa disparition. Dieu l’ait dans sa miséricorde et sa clémence. Tu me renvoi désolé de ne pas pu assister à ses obsèques. Je dédie cet hommage à la mémoire de celle qui était-il ya quelques jours parmi nous. Il nous reste qu'à demander à la défunte le pardon, lors de nos prières et principalement celle du vendredi . Dieu ait l'âme de notre défunte .
رحم الله الحاجة فاطمة انكادية زوجة عمي انا لله و انا اليه راجعون كل نفس ضائقة الموت ارجو لها روضا من رياض الجنة و الهمكم الله الصبر و السلوان و ما ذلك على الله بعزيز
ابن عمكم محمد

mercredi 14 septembre 2011

impôt sur la fortune.

La fortune des citoyens richards du pays doit être imposable. Les fortunes ne doivent pas rester inertes dans des comptes bancaires fleurissant des intérêts que ces gens cueillent avec ferveur. Le pays que nous citons au quotidien comme exemple, c'est-à-dire notre amie la France a instauré l’impôt sur la fortune tout récemment. Cette opération a rapporté une consolation au budget de l'état français. Ce qui a permit de subvenir aux dépenses publiques, de l’état français. Actuellement il est question d'augmenter le taux de l'imposition en question. Pour sauver la trésorerie nationale des problèmes de liquidité, il serait souhaitable que cette décision voit le jour dans les meilleurs délais. Cette source supplémentaire financièrement n'est pas négligeable pour alimenter les caisses du pays souffrant du manque de sources, ce qui conduit le gouvernement à se désengager de certains parts dans des sociétés telles que Maroc télécoms afin de sauvegarder les engagements de l'état. Vendre des parts dans des entreprises en pleine expansion n'est guère une bonne solution pour consolider la politique du développement. Le comble est de voir qu'un retraité paie son impôt sur sa pension, et un fonctionnaire sur son salaire alors qu'un autre citoyen riche ne paie pas de taxe sur sa fortune qui se chiffre à des milliards de dirhams, quel contraste!!!!!! Ces gens célèbrent des fêtes avec des milliards de dirhams sans se soucier du sort économique, les journaux en faisaient leurs unes à chaque occasion. Ces richards doivent venir au chevet de leurs pays juteux autrefois. L'opération de sauvetage n'est plus permise une fois toutes les sociétés seront vendues. L’impôt sur la fortune est une opération que les marocains ne la considèrent pas comme un tabou qui fait obstacle au développement du pays. Cette taxe devient primordiale pour sauver les obligations du pays en matière de la finance des projets socio-économiques serviront au bien être de leurs concitoyens. C’est une source essentielle motivante pour la trésorerie nationale déjà souffrante. Taxer la fortune est un devoir national que chacun doit en tenir compte pour le développement de ce pays mére de tous les marocains.

lundi 12 septembre 2011

Un chez-soi peu commode

Lorsqu'on aime son pays on le construit juste et comme il faut .Telle est la devise nationale du bon citoyen qui sent la responsabilité vis-à-vis de ses concitoyens. Les prix de l'immobilier dans notre pays ne tiennent leurs valeurs réelles d'aucun document officie, ni réalité nationale. Les prix de vente des appartements ou des lots de terrain n'obéissent à aucun texte officiel régissant les relations des transactions entre les acquéreurs et les vendeurs résultat : au bout d'un temps record le petit entrepreneur débutant devient par miracle, un grossiste de premier ordre. Ceci n’exclue pas son droit de tirer des bénéfices de ses transactions immobilières, mais réglementaires et non au détriment du citoyen qui se plie en quatre pour économiser et s’endette pour avoir un chez soi. Les prix flambent dans tous les sens allant du social au grand standing en passant par le commercial, le tout est couronné par Monsieur le Noir qui rend la vie du pauvre acquéreur nettement noir comme une nuit hivernale. ( le noir dans le jargon des vendeurs est une somme soumise sous la table au profit du vendeur sans être déclarée au fisc). Cette pratique est courante même dans des sociétés de renommée nationale. L'absence d'un contrôle lors de l'enregistrement nourrit une telle pratique sous les yeux des autorités publiques. L’acquéreur n'a d’autre choix que de se soumettre à la cupidité du vendeur qui ne voit que son intérêt personnel. Le citoyen est ainsi sans défense devant la cupidité de l'entrepreneur. D'autre part après l’acquisition du bien et au bout d'un temps bien limité, des anomalies font leurs apparitions dans l'appartement qui devient un véritable cauchemar pour le pauvre acheteur. Ce qui engendrera inévitablement des frais supplémentaires, qui viennent d’alourdir la charge de la nouvelle demeure.

dimanche 11 septembre 2011

L'abattage clandestin se nourrit de la corruption

L'abattage des animaux destinés à la consommation humaine clandestinement est un crime passible de lourdes sanctions. La consommation des viandes rouges touche un grand nombre de citoyens de nos villes. La clandestinité n’est pas uniquement le lot de certaines villes marocaines, elle concerne aussi les souks hebdomadaires dans différentes régions du pays. L'abattage clandestin ne concerne que les bêtes malades, maigres, vieilles, qui pourraient être refusées à l'abattage réglementaire le cas échéant. Ce genre d'actes échappe au contrôle du vétérinaire, en conséquence il est nuisible à la santé publique. Les bouchers pratiquant l'abattage clandestin trouvent leurs clients parmi les couches populaires démunies, voire moyennes. Le pouvoir d'achat, et la conjoncture économique sont deux éléments favorisants ce genre de pratique commercial. Avant de saisir ces 3 tonnes, combien de tonnes ont été consommées? Ce phénomène commence à prendre de l'ampleur dans les quartiers par défaut de contrôle du service hygiène, et le resserrement des lieux d'abattage. La contribution des pouvoirs publics et du public sont obligatoires pour cerner ce fléau. L'abattage clandestin se nourrit de la corruption. Les relations entre les deux phénomènes sont soudées de manière que l'une ne dénonce l'autre, au détriment de la santé du citoyen. Les malfaiteurs coulent leurs marchandises dans les boucheries en toute impunité sans avoir à s’inquiéter. La profession de boucher doit être revue à nouveau ainsi que les locaux d'exercice et de stockage des marchandises. Ceci est valable aussi bien pour les viandes rouges que blanches, y compris les poissons aussi. L'honnêteté et la solvabilité du boucher doit être garantie les intéressés pour pratiquer la commercialisation de ces produits. Ces produits périssent rapidement, donc leur transport doit être adéquat et répondant aux exigences des cahiers des charges élaborés par les services concernés. La santé des citoyens est au dessus de tout compte et rente personnelle. Sa sauvegarde est un devoir national et constitutionnellement reconnu comme tel dans les instances juridiques.

Le MAROC et L’ALGERIE : Les deux amis- frères

Peut-on dire que la distance kilométrique séparant rabat d’Alger ne facilitant pas l’unification de la communication politique ? Alors qu’en réalité cette distance devient un néant si on se remet du coté des frontières qui ne sont séparées uniquement que par un ruisselet ou un filet d’eau ou une par marque que portent certains pierres rappelant aux gens la limite des deux cotés. Pour observer concrètement la valeur des sentiments partagés entre le peuple marocain et algérien, il faut aller à Oujda, ville limitrophe de la frontière algéro-marocaine, et y vivre quelque jours pour constater que la différence entre les deux peuples amis -frères est quasi inexistant. On trouve sur le long des frontières, des relations hors du commun. Des échanges d'ordres commerciaux, et sociaux: c'est à dire des échanges de marchandises des deux cotés dans les deux sens n'ont jamais cessé malgré la fermeture des frontières formellement des deux cotés. Quant aux relations sociales ce produit précieux n'a jamais été l'objet d'aucune obstruction des deux côtés des peuples algérien et marocain. On peut dire sans hésiter que la vie des gens de cette zone y vivent dans une harmonie incomparable, du faite qu'il y a des beaux frères , des belles sœurs, des cousins , des cousines des oncles paternels et maternels des grands parents, des grand- mères des deux rives, et encore des mariés (ées) sans obstruction de quiconque. Officiellement les frontières sont fermées mais officieusement rien n'empêche que les relations entre des deux rives se développaient d’avantage et demeuraient en bon terme.

Les hommes d'affaires, les entrepreneurs, les directeurs de sociétés de services ont compris que la part du gâteau ne doit pas aller aux étrangers, alors qu'il revient de droit aux riverains. Cette prise de conscience des commerciaux dépassent largement celle des politiques qui restent rigides sur le point de l'interdiction de l'ouverture des frontières. En attendant de trouver une futur solution pour apaiser l'atmosphère qui y régnait, de convaincre les deux pays de privilégier la destination de l'ouverture sur l'avenir, le chemin n'est plus accessible pour le moment. Donc automatiquement le commercial l'emporte sur le politique. Les relations de bon voisinage entre les limitrophes était toujours sujet de compréhension et de respect entre les parties. L’intérêt à accorder au bénéfice des échanges commerciaux résultant des opérations que les hommes d'affaires veulent bien tirer de cette situation demeurant critique est de surmonter les obstacles que le politique met devant un désire de vouloir aller de l'avant. Je pense que le temps des incompréhensions politiques entre les pays est révolu. Le monde cherche à tirer bénéfice des situations qui prévaut dans plusieurs régions ou le torchon brule entre les politiques. La base du développement des pays s'accoude sur le volet économique plus que politique. L'économie est le modérateur de tout épanouissement d'un pays. Nous assistons actuellement au développement de la prise de conscience dans les rangs des entrepreneurs qui veulent en bénéficier du gâteau des projets dans tous les domaines.

Le politique doit suivre le commercial qui cherche ses intérêts, alors que les pays tentent à se regrouper politiquement et économiquement pour aller de l'avant dans l’intérêt du développement de leurs régions, afin de garantir le bien être du citoyen avec une flexibilité exemplaire. Nous sommes des amis -frères de sans, de langue, de religion, de géographie, et d’histoire. Il n'y a pas de raison de manquer au rendez-vous du développement de nos nations.

Les retraités ……………………………S O S

Peut-être le retraité marocain devient de plus en plus signe de détresse, et synonyme des malheurs. Cet homme ou cette femme se sont des gens qui ont travaillé toute leur vie à la disposition du service public ou privé. Le facteur commun entre les différentes catégories sectoriels en retraite c’est qu’ils sont actuellement en marge de la société, qui en principe doit leurs garder un minimum de respect, de considération et de dignité. Cette population n’attire guère l’attention des autorités responsables chargée de gérer le destin de ce pays. Aucune reconnaissance n’est dévolue à ces personnes qui deviennent des incognitos dans leurs administrations qu’ils ont bâties. La reconnaissance de cette contribution n’est plus à la hauteur de leurs sacrifices. Les retraités marocains sont écartés de tout avantage offert aux fonctionnaires. Le retraité marocain ne bénéficie pas des augmentations accordées aux gens en activité. Les prédécesseurs n’ont aucun droit a en bénéficie des avantages similaires. Ce genre d’agissement met inévitablement la population des retraités en marge de la société marocaine. Les retraités ne pensaient jamais qu’un jour ils le regretteront, et c’est le cas qui prévaut (des vies gaspillées sa vie pour rien ditils). Cette amertume que sentent les retraités aujourd’hui à la suite de ce dé favoritisme exercé par l’administration marocaine à l’égard de cette population en les privant de l’augmentation des salaires. Le choc ressenti dans ce milieu est d’une ampleur incomparable. Ils sentent une vraie ségrégation entre les générations. Le retraité ne bénéficie d’aucun avantage sociale ou autre : il paye son IGR au même titre qu’un actif, il continu à cotiser dans le secteur mutualiste et AMO comme dans le passé sans changement, dans les transports publics aucun avantage si on exclu les 25% DE L ONCF faut il encore payé chèrement carte d’abonnement !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

On compte parmi les retraités une grande majorité qui devient la proie par leur fragilité, des patients fidèles des cabinets médicaux des spécialistes allant du cardiaque aux insuffisances rénales en passant par la cécité, la surdité et le diabète. Cette société est de santé fragile. Le retraité se voit son traitement mensuel se résume en pension c’est-à-dire la suppression des avantages en prime et autre de ses émoluments. En troisième âge, il a besoin de loisirs, de vivre dignement, de subvenir à ses obligations quotidiennes. La quasi-totalité de cette catégorie sauf exception faite mène une vie difficile, peut-être soutenu par des membres familiaux. Alors devant cette situation alarmante comment peut-on dire avec fierté que je suis un retraité de la fonction publique? Les associations des retraités ne s’occupent pas du devenir de cet individu, dans les meilleurs des cas elles organisent des visites religieuses comme el OMRA ou des voyages à l’étranger sachant que ces activités ne sont pas gratuites, donc ils n’en bénéficient qu’une catégorie minuscule très réduite. Une disparité éclatante entre les actifs et leurs prédécesseurs. Arriver à un âge dite de sénior il est très difficile à supporter la négligence des pouvoirs publics, les syndicats sont quasiment absents de la scène.

Crié S O S est un geste peu conventionnel, mais il reste un droit d’expression qu’on lui accorde. Sans la conjugaison des tous les efforts des associations, amicales et l’adhésion massive des retraités pour défendre les intérêts communs des retraités, de leurs ayants droits, le risque de se démarquer de ses intérêts devient imminent si la négligence y demeure persiste. Chaque retraité a le droit de vivre paisiblement, dignement. Vivre son troisième âge doit-être un plaisir et non un cauchemar poursuivant le retraité au quotidien.