mercredi 30 novembre 2011
Quelle lecture faisons-nous des résultats des élections législatives 2011?
mardi 29 novembre 2011
Démocratiser : La transparence, instituer l’égalité des chances.
Question posée à bon scient, plut tôt que voulons nous du PJD ? Premièrement il doit honorer son engagent tant évoqué lors de ses meetings vis-à-vis de la population électorale qui a placé sa confiance en eux. Satisfaire les attentes du corps électoral. Le PJD est un parti de souche marocaine a vision moderne mais qui trouve ses convictions dans la religion islamique sans trop polémiquer cette notion, le parti en question a promit de venir en aide aux couches populaires pauvres du pays. Cette population est un réservoir électoral que les candidats sachent bien défendre sans eux ils n’auront pas à se voir siéger au parlement. Le défi est grand vis-à-vis des populations, qui ont voté « PJD » soient en qualité de militants ou sympathisants, ils ont choisi cette formation en espérant qu’ils seront capables de réaliser certaines chères revendications que leurs prédécesseurs n’ont pas accompagné de satisfaction. Donc en quelque sorte tous les espoirs de la masse populaire se reposent sur les efforts que produira ce parti. Réaliser les programmes touchant le chômage qui fait tache d’huile sur les toiles dans les annales de plusieurs gouvernements et qui touche 30% des jeunes à l’âge de travailler, la santé est une priorité nationale que les responsables ont relégué au dernier rang, l’enseignement mérite une collégialité pour étude et décision dans les meilleurs délais, combattre la corruption ce fléau social sous estimé qui a dénigré la vie politique du pays , la transparence, l’égalité des chances sont les objectifs primordiaux et le souhait chère aux marocains, tels sont les priorités que le nouveau gouvernement doit s’atteler à réaliser pour garantir une autre percé lors des élections 2016. La réussite du PJD est qualifiée par plusieurs medias étrangers comme étant un résultat de longue halène sans faire défection aux valeurs du parti qui sont les leurs. La formation du gouvernement est pour très bientôt, cette formation sera mise sur la sellette afin d’explorer le bien fondé de la gestion gouvernementale de ses membres constituant la nouvelle vision d’équipe sous la direction du parti en question. Sans dramatiser les effets ce gouvernement trouverait sans doute des difficultés tant sur le plan gouvernance gestionnaire que sur le plan prévisionnel vis-à-vis de la conjoncture économique qui prévaut dans le monde entier. Notre inflation est de 6%. Le parti est dans l’obligation d’épouser certaines idées et méthodes qui n’étaient pas les siennes. Ce bouleversement politique est le premier de son genre au Maroc, depuis son accession à l’indépendance en 1956. Ce pays n’a jamais eu un tel parti avec un score de 107 sièges parlementaires propres à lui. Est-ce ce parti est capable de faire face à l’opposition qui sera certainement constitué par d’autre partis extra gouvernement ? Relevé ce défi fait partie de ses ambitions et gagné cette bataille politique est du domaine de l’impossible si les efforts ne seront pas conjugués au conditionnel et au pluriel. Le risque d’échouer n’est pas absent, il n’est pas loin aussi que la réussite soit du coté du PJD garanti par ses membres qui ne cessent de réclamer le droit de diriger ce pays. Je vous souhaite bonne chance.
mardi 22 novembre 2011
Le Maroc et le PNUD.
Contester et critiquer les scores figés par l' organe onusien le PNUD n'est pas sûrement la bonne solution pour y répondre hâtivement. Oui la certification du classement universel de notre pays qui est relégué au 130 /187 e rang certainement après la Palestine (114) et avant l’Irak (132) , notre pays figure dans le dernier 1/3. le Maroc n'est jamais victime comme le prétendent les responsables gouvernementaux en tête le HCP. Le PNUD est un organisme international de l' ONU jouissant d'une renommée mondiale. Les avis de ses experts et conseillers sont des observations et des ordres pour redresser les balances d'échanges et le développement d'économie le cas échéant. Ses avis sont pris en considération par les organismes faisant objet d'observations ou réflexions. On ne peut les mettre en doute sous prétexte qu'ils sont mal informés ou encore induits en erreur, ne connaissant pas les réalités du développement de notre pays comme le prétendent nos responsables. Comment nous explique le HCP cette dégringolade vertigineuse sans merci en reculant de 16 places? Quelle politique à suivre pour essayer de gagner quelques places en avant? Ceci sème certainement des doutes dans les chiffres qu'avance le gouvernement sur le taux du développement socio-économique, le taux du chômage, sur le taux indexé du PIB, sur le taux de l'inflation, sur le volume de nos exportations… Notre pays n'a pas résorbé le problème de la scolarisation des petits marocains, surtout dans les milieux ruraux, la perdition scolaire et l'absentéisme sont omniprésents surtout dans nos écoles primaires. L'analphabétisme est domicilié chez nous, chaque année on crée un programme pour combattre ce fléau sans atteindre les normes demandées par le FMI. Tant que cette maladie existe, le développement des ressources humaines est peu probable, la croissance devient un mirage, voir impossible à réaliser. Pour grignoter quelques places pour un éventuel classement avantageant nous lors de l'année 2012 reste un énigme. Pour le citoyen simple que je suis , je ne constate aucun changement. Les prix flambent dans les marchés et magasins nationaux toutes marchandises confondues. Le citoyen marocain payé au SMIG ou encore le fonctionnaire ne sentent ni le développement ni la croissance du revenue de ce citoyen moyen que le HCP nous raconte au point de nous en dormir debout et ou nous en rhumer sur les antennes radios et TV. Comment peut on croire comprendre que l'inflation est à 6% alors que les prix brûlent sur les places !!!!! Le chômage est au dessous de 9% alors que nos rues débordent des sans travail. Les légumes, les fruits, les céréales leurs prix ne descendent jamais au dessous de 6 à 10 dirhams le KG, alors qu'on témoigne à notre pays comme étant un pays producteur d'agrumes, de céréales... Quant à l'augmentation des salaires de 600 DH, elle reste dérisoire et ne couvre même pas la facture de l’électricité, elle reste en dessous des espoirs et souhaits des citoyens sans compter d'autres besoins primordiaux pour la survie de la famille. Le comble dans cette augmentation, que les retraités ne sont pas concernés, sans doute le besoin est amplement senti qu'aussi bien dans cette tranche de gens qui ont travaillé durant 40 ans au service de la nation que d'autres. L'ignorance totale est le prix à valoir pour eux. La politique des salaires des actifs et des retraités nécessite une mise au point pour influencer les experts mondiaux qui valoriseront l'effort du pays sûrement. Améliorer la performance de la rentabilité du pays, c'est adopté des programmes ambitieux argumentés de solides propositions budgétaires. Cesser les propagandes électorales, voir de face les possibilités du pays et conjuguer les efforts selon nos réalités. Créer des emplois, encourager les entreprises à maintenir leurs employés, à ne pas fermer pour en déclarer sommairement la faillite, encourager la scolarisation, motiver les enseignants, les médecins, les ingénieurs ... Pour surmonter ses difficultés, le Maroc a besoin de la conjugaison des efforts de tous les citoyens en commençant par le choix du vote du vendredi 25/11/2011, afin de s'en passer et d'éviter les observations cruciales, cruellement dicté par le PNUD. La contestation et la mise en doute de son rapport à l'occasion de chaque édition ne peut pas devenir une question de rancune ou de règlement de compte envers notre pays comme on peut l'entendre quelque part. Si le royaume n'arrive pas à améliorer la performance de sa balance commerciale à l'importation, à l'exportation, et si la maîtrise de l'élaboration du budget n'est pas compatible avec les vrais réalités marocaines le résultat en déduction est voué à l’échec sans doute. Le pouvoir d'achat est bafoué, il se résume par l'endettement des gens. Le gouvernement a encore une fois a contesté ces scores et appelé à la révision des critères de classification qui sont les leurs, sur quoi faut il les convaincre? Dans le cas contraire et pour ne pas rester tributaire des actions que le PNUD serait dans l'obligation de renouveler à chaque édition annuelle, il faut se mettre au travail, réfléchir aux projets valeur ajouté, créer des emplois encourageant le pouvoir d'achat. La classification du PNUD est une forme servant à attirer l'attention des gouvernements dont leurs économies et croissances humaines laissent à désirer, ou encore sont en berne, afin d'éviter une crise cardio-economique.