La femme......et le risque
Dire
aimer à une femme en particulier n’est pas un crime susceptible à afficher sa
mélancolie , et dire aimer à une femme bien précise n’est pas non plus un
désastre irrationnel dans une relation qui relit l’homme à la femme par un acte
de mariage par exemple dans notre société dite moderne qu’ancienne. Mais jusqu'à l’utilisée comme un moyen figé en permanence
dans le commercial et dans le marketing pour la vente et la publicité des
produits allant du cosmétique aux habilles, ou encore sa présence permanente dans des films de sexe.
Cette exploitation qui touche le fond et la pudeur de la personne de la femme doit
relever des non dits. Elle devient un objet privilégié pour la
commercialisation des articles de marchandises en traitant tous les sujets de
la mode qui met en relief le corps de cette créature. Pour attirer plus de
clients, et faire grossir leurs portefeuilles. La femme jouit d’une estime
particulière dans la société, mais malheureusement ce respect est entrain de
s’abimer à cause de son exploitation par les commerciaux et les spots
publicitaires. Nos rues et boulevards sont bordurés par les panos publicitaires
aux multi goûts citant les liqueurs, les habilles que son portrait assure la vente des produits mis en
commerce,…. Cette femme que nous sommes entrain de détruire sa personne en
l’utilisant comme un objet à date d’expiration, une fois son âge atteint une
certaine limite, et s’il ne répondra plus aux exigences et critères de leurs
besognes, la mise en marge est prononcée. Les exemples ne manquent pas, à
l’échelle des mannequins qui souffrent le martyre de l’anorexie,
après avoir fait rêver des hommes de tous âges et de toutes catégories. Sur
les revus leurs portraits faisaient les unes sans rivalité. Cette fille devient
femme, sœur, tante, cousine, voisine,
amie épouse, grand-mère……Que peut on faire pour limiter l’exploitation de son image?
Une question sociétale accablante très difficile dans sa teneur et qui y existe.
Beaucoup de facteurs ne jouent pas en sa faveur et ne permettent pas à la femme
de refuser quelques minutes de tournage d’un spot publicitaire, de quelques
passages dans un film pour gagner un cachet bien vitaminé en euro ou en dollars.
Les tentations sur le paillasson sont multiples allant d’un bon salaire à d’un
séjour au cinq étoiles touristiques de rêve
dont l’accès n’est permit qu’aux fortunés dans des zones qu’elle ne rêverait jamais de s’y
trouver sans cette fonction. Les exemples ne manquent pas, mais une fois l’âge
idéal est dépassé, cette créature se replie sur elle-même. Elle entame une
nouvelle vie dans l’ombre et en marge de la société. Certaines de ces grandes dames
des années 60 et 70 se sont livrées à eux même dans une solitude dévorante. Des
vedettes sont rangées par des maladies de vieillissement et de négligence à
titre indicatif Brigitte bardot. La
femme doit rester une femme mère ou pas digne de la personne qu’elle assume.
Elle doit vivre pauvre ou riche dans la dignité, sans l’a poussé à vivre
médiocrement dans l’obscurité au dépourvu de toute éventualité de se redresser. Une femme ne doit pas courir de risque en fin de son séjour