vendredi 2 décembre 2011

Le RNI et le PAM dans l'opposition feront-ils le poids face au PJD?

Les deux partis leaders du regroupement RNI et PAM des G8 à coté d’un parti qui ne partageant pas certaines idéologies facteur commun entre eux comme prétend des militants du MP qui incombe la quasi-totalité de la responsabilité de l’échec électoral qui a frappé de plein fouet ce mouvement qui avait l’habitude d’une moisson respectable de voix à la taille de ce parti qui se revendique, comme étant une formation traditionnelle et d’authenticité. Le nombre de voix récolté lors des élections du 25/11/2011 est inferieur à 100 ce qui les place en opposition à défaut de participation à la coalition du nouveau gouvernement. Une éventuelle consultation du MP par le nouveau chef du gouvernement peut fortement conduire ce dernier à coalisiez avec eux, à condition de faire défection au G8 en attente de son éclatement le cas échéant. Le jeu politique est en plein ébullition. Les partis de tête de classement cherchent à bénéficier des postes pour leurs militants, faute de quoi il serait dans l’impasse politique sous peine de perdre la face devant les populations qui ont voté pour eux. Se placer en groupe d’opposition dans le parlement n’exclut pas leur vouloir et désir d’exercer des fonctions ministérielles. Avec le rassemblement de la totalité des voix des partis (PJD-USFP-PPS-IST+UC+MP) positionne le prochain gouvernement confortablement dans ses décisions qu’il entreprendrait. Néanmoins le rôle de l’opposition n’est pas négligeable, il est constitutionnellement renforcé dans la nouvelle constitution. Les futures critiques au parlement doivent prendre en considération qu’ils étaient des ex-dirigeants. Malgré la cible préférée du PAM , est le PJD, La critique tiendrait compte de ce conflit. En mode de calcul les RNIistes et les PAMistes ne font pas poids lourd en face de la nouvelle formation gouvernementale. Ils seront minoritaires si en ajoute l’interdiction de changement ou transfert d’un parti à l’autre. Le parlementaire a l’obligation de rester fidèle à sa formation partisane initiale. L’opposition n’a aucune chance de conduire un groupe de pression pour influencer les décisions du gouvernement ou de les abdiquer. Une grande chance est donné au PJD de se produire sur la scène politique, de démonter leur savoir faire et leur capacité de gestionnaires étatiques. Sur la sellette, le cavalier se lance pour un trajet de cinq années je lui souhaite bonne réussite. En conclusion un groupe de pression faible, est affaibli par le vote sanction.

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