Un terme moderne dans le langage
des sociétés, né de la plantation dans des environnements autre que ceux de leur
origine. Ce terme a vu le jour il y’a quelques décennies, suite à un certains
problèmes qui étaient apparus dans les
pays les plus développés techniquement et industriellement. La délocalisation
se traduit par le transfert des activités des sociétés dans les pays du tiers
monde. Cette opération est dictée par le besoin et l’envie de grossir les
chiffres d’affaires et gagner plus. La délocalisation pour ces entreprises ne
concerne que le changement des bâtiments. Les dirigeants, les cadres sont immigrés
avec la compagnie. En réalité la main d’œuvre utilisé et celle du pays hôte,
elle est qualifiée mais peu coûteuse. Un atout à gagner pour ces sociétés qui se voient échapper aux
impôts pesant lourd sur leur budget, à la cherté de la main d’œuvre en conformité
avec le niveau de vie du pays, à l’influence des syndicats puissants et,
l’intransigeance sur le sort des employés, exemple. En terme de gestion, ces
sociétés sont supervisées par un staffe immigré avec tous les avantages
nécessaires à sa gestion directionnelle. La main d’œuvre est abondante elle est
assurée par le pays hôte. Bien entendu le salaire mensuel dans ces pays est
nettement inférieur au pays d’origine : (un salarié en France coûte 2100
euros à l’employeur (charges comprise), alors qu’en Romanie ce même salarié
ne coûtera que 400 euros pour le même travail)
donc l’une des raisons pour
laquelle les sociétés immigrent de l’Europe vers l’Afrique, l’Asie ou encore l’Amérique
du sud. Sachant que la main d’œuvre utilisée ne nécessite pas une formation
particulière ou assez complexe, il est à noter que ce genre de salariés ont en
majorité un CAP par contre, les nouveaux salariés hôtes ont en majorité un
BAC+2. Une formation assisté et initialiser
donne plein satisfaction. L’objet de la main d’œuvre se résume au travail
manuel ne demandant que peu de qualification. La réduction des charges, en termes
de production y compris la main d’œuvre peu coûteuse, l’imposition avantagée,
une fiscalité, clémente et d’autres facilités d’hébergement sont offertes à
titre d’encouragement pour l’installation
de ces sociétés. Le transfert de leurs activités n’exclut pas la vente de leurs
productions en marchandises dans le monde entier y compris leurs pays
d’origine. Ces sociétés exploitent à fond la main d’œuvre sur place, le
développement de ces entreprises est
basée sur les encouragements du pays hôte et ses moyens offerts. Leurs
trésoreries se grossissent dans des temps limités. Malgré des avantages et
atouts il y a des entreprises qui font faillites, d’autres se relocalisent.
Donc c’est une opération à double sens, les décideurs gardent toujours le
privilège du retour au bercail. Les pays hôtes de ces compagnies ne doivent pas
compter sur ces investissements pour résorber le chômage de sa population. Les
contrats d’hébergement doivent comprendre les clauses régissant les relations
entre eux. Ces multinationales leurs budgets dépassent de loin celui du pays
hôte. Une fois la délocalisation est mise en cause, la relocalisation devient
une solution inévitable, souvent pour échapper aux obligations signées et
engagées vis-à-vis de leurs employés.
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