Le moment actuel n'est pas propice pour la tenue de la nouvelle édition du festival mawazine à Rabat capitale du royaume du Maroc, version 2011.Vu Le drame du jeudi 28/04/2011 vécu par le pays dans la ville de Marrakech connue historiquement comme étant capitale du tourisme. Le pays est toujours en deuil. Ce drame a couté la vie à 16 personnes et une trentaine de blessés de différentes nationalités y compris la marocaine. Ajoutant à ce triste événement le vandalisme organisé et opéré par les étudiants sahraouis dans la ville « El Irfane » à Rabat. Le massacre, le saccage auxquels des biens publics, privés étaient des cibles choisies, et l'objectif de ces semeurs de panique et de peur dans le monde estudiantine. S'ils existent des citoyens qui se lèvent contre l'organisation de cette manifestation, ce ci n'explique pas pour au tant leurs refus catégorique. Les arguments cités ci-hauts sont convaincants pour l'annuler cette année. Si on désigne Mawazine comme une rencontre culturelle par excellence on ne pas indexer le ministre de la culture dans gouvernement marocain issu d'un suffrage universelle, «comme ombre de lui-même » je vous cite. Mawazine doit être revu sous d'autres ongles tel le culturel par exemple. Sauf une toute petite minorité insignifiante de citoyens, et à un pourcentage de plus de 90% des gens sont anti-mawazine et peuvent voter le cas échéant son annulation à jamais. Très, très loin de la démagogie et de la propagande, Mawazine ne répond plus aux aspirations les populations, et fait l’unanimité de sa résiliation de la culture marocaine, celle-ci est beaucoup plus noble. IL y a absence de critiques et quolibets du citoyen, ou allégations fortuites. par la même occasion aucune obédience idéologique ou religieuse spécifique obscurantiste n’est observée. Le déboursement de cette fortune peut résoudre un certain nombre de problème, au moins à l’échelon local dire autrement, c’est s’inscrire en faux. En fin pourquoi tant pis pour les refoulés aigris aux autres frustrés ? Je vous cite. A vous de juger monsieur le lecteur.
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