vendredi 4 novembre 2011

C'est l'idée de l'avenir

Sacrifier son mouton soit à l'occasion d'un rituel ou d'un heureux événement n'a rien de particulier si on observe les règles sanitaires. Oui il serait souhaitable d'adopter l’exécution des sacrifices dans les abattoirs municipaux contre le paiement d'une taxe municipale. Ce ci devrait devenir dans les années suivantes un rituel, une habitude pour sauvegarder notre environnement des dégâts résultant des déchets, à la suite de cette opération. Pour quoi ne pas épouser cette pratique même en dehors de l’Aide , en utilisant le milieu municipal public propre hygiéniquement au lieu de salir l' environnement vital avec tout ce qui peut engendrer comme problème sanitaire nuisible aux habitants du quartier et de la ville toute entière. La question du sacrifice collégial doit mûrir dans l'esprit des citoyens. Cette idée doit être développer en multipliant les explications à l'adresse des consommateurs. L'enjeu est de taille , il mérite la conjugaison de tous les efforts des élus, ,de l'autorité municipale, de la société civile, et principalement la participation des services hygiènes qui s'avère primordiale. Avec la présence d'un médecin vétérinaire sur place à pour but de soumettre la bête au contrôle avant sa consommation afin d'éviter un problème du genre intestinal ou autre. L'idée est nouvelle pour les opposants qui veulent égorger chez eux doivent veiller à la propreté du lieu de sacrifice. C'est l'idée de l'avenir. Sacrifier dans les normes islamiques, conformément à la loi divine, n’exclue pas d’essayer cette procédure que s'il verra le jour, nous y gagnerons beaucoup sur le plan environnement, sanitaire, et sauvegarder la ville de ces déchets inutilement causé par nous même. Sauver nos villes du spectre des ordures est un devoir citoyen, que chacun de nous doit exercer solennellement.

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