samedi 28 janvier 2012

LA FEMME............ET LE RISQUE


La femme......et le risque
Dire aimer à une femme en particulier n’est pas un crime susceptible à afficher sa mélancolie , et dire aimer à une femme bien précise n’est pas non plus un désastre irrationnel dans une relation qui relit l’homme à la femme par un acte de mariage par exemple dans notre société dite moderne qu’ancienne. Mais jusqu'à  l’utilisée comme un moyen figé en permanence dans le commercial et dans le marketing pour la vente et la publicité des produits allant du cosmétique aux habilles, ou encore  sa présence permanente dans des films de sexe. Cette exploitation qui touche le fond et la pudeur de la personne de la femme doit relever des non dits. Elle devient un objet privilégié pour la commercialisation des articles de marchandises en traitant tous les sujets de la mode qui met en relief le corps de cette créature. Pour attirer plus de clients, et faire grossir leurs portefeuilles. La femme jouit d’une estime particulière dans la société, mais malheureusement ce respect est entrain de s’abimer à cause de son exploitation par les commerciaux et les spots publicitaires. Nos rues et boulevards sont bordurés par les panos publicitaires aux multi goûts citant les liqueurs, les habilles que son  portrait assure la vente des produits mis en commerce,…. Cette femme que nous sommes entrain de détruire sa personne en l’utilisant comme un objet à date d’expiration, une fois son âge atteint une certaine limite, et s’il ne répondra plus aux exigences et critères de leurs besognes, la mise en marge est prononcée. Les exemples ne manquent pas, à l’échelle des mannequins qui souffrent le martyre de         l’anorexie, après avoir fait rêver des hommes de tous âges et de toutes catégories. Sur les revus leurs portraits faisaient les unes sans rivalité. Cette fille devient femme, sœur, tante,  cousine, voisine, amie épouse, grand-mère……Que peut on faire pour limiter l’exploitation de son image? Une question sociétale accablante très difficile dans sa teneur et qui y existe. Beaucoup de facteurs ne jouent pas en sa faveur et ne permettent pas à la femme de refuser quelques minutes de tournage d’un spot publicitaire, de quelques passages dans un film pour gagner un cachet bien vitaminé en euro ou en dollars. Les tentations sur le paillasson sont multiples allant d’un bon salaire à d’un séjour au cinq étoiles  touristiques de rêve dont l’accès n’est permit qu’aux fortunés  dans des zones qu’elle ne rêverait jamais de s’y trouver sans cette fonction.   Les exemples ne manquent pas, mais une fois l’âge idéal est dépassé, cette créature se replie sur elle-même. Elle entame une nouvelle vie dans l’ombre et en marge de la société. Certaines de ces grandes dames des années 60 et 70 se sont livrées à eux même dans une solitude dévorante. Des vedettes sont rangées par des maladies de vieillissement et de négligence à titre indicatif Brigitte bardot.  La femme doit rester une femme mère ou pas digne de la personne qu’elle assume. Elle doit vivre pauvre ou riche dans la dignité, sans l’a poussé à vivre médiocrement dans l’obscurité au dépourvu de toute éventualité de se redresser. Une femme ne doit pas courir de risque en fin de son séjour

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