mercredi 5 janvier 2011

La sécurité , et les fêtards

La sécurité demeure une priorité primordiale pour l’ensemble des populations du monde sans exception même les pays les plus riches souffrent du cauchemar, la maladie du siècle est le terrorisme, hérité du siècle dernier, ce phénomène ne s’explique qu’une fois le male est produit, les terroristes ne travaillent pas au grand jour pour mettre leurs projets objectifs sous les projecteurs des populations.
Prendre des précautions qui s’imposent afin d’éviter un carnage parmi les populations et leurs biens mobiles, et immobiliers font parties des mobilisations permanentes qu’observent les corps de sécurité des pouvoirs publics, à qui incombent la responsabilité et la sauvegarde des citoyens, cette tache revête un caractère prioritaire pour les instances des forces de l’ordre, qui s’engagent implicitement dans les surveillances quotidiennes des sites dites névralgiques de la métropole et des grandes autres villes du royaume, et les villages ne sont épargnés
La sécurité et l’insécurité ne cohabitent jamais sous le temple des droits de l’homme
D’autre part, un grand chapeau à l’adresse de nos forces de l’ordre, y compris la police qui ont cadré durant toute la nuit du vendredi 31 décembre 2010 jusqu’à l’aube du premier janvier 2011les artères et des quartiers des villes, des patrouilles autoportées serpentaient même les ruelles et culs de cas.
Ces hommes ont veillé toute la nuit, ils sécurisaient les gens qui fêtaient la nuit de saint Silvestre, ils passaient la grande partie de la nuit et une bonne partie du petit matin à la belle étoile, pour garantir que rien ne venait à perturber le déroulement des festivités, qui ont été entamées dès la tombé de la nuit. Sous un froid glaciale du mois de janvier, certains sont déjà au chaud à l’abri des intempéries, auxquels les gens de la sécurité sont y exposés. Entassés dans des fourgons appartenant à la préfecture de police, ils sillonnaient les villes sans relâche, ils ne rentreraient chez eux qu’une fois tous les fêtards y rentrent.
Incontestablement ces gens méritent un grand respect pour le travail qu’ils accomplissent dans des conditions difficiles, avec abnégation, courage et dévouement à l’uniforme qu’ils portent, avec des moyens du bord qui sont aussi limités, une monnaie rare de notre temps.
De nos jours garantir la sécurité des villes et des populations devient de plus en plus difficile à maitriser, mais un engagement inébranlable, et un savoir de management que l’institut en question en non manquera pas, le corps d’ordre y compris les cadres font un travail merveilleux, ils sont au service du peuple, nous leurs rendons un grand bonjour de gratitude et de respect. Merci messieurs grâce à vous nous y sommes en sécurité.

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