vendredi 7 janvier 2011

LE MOI

Certaines notions font partie du langage utilisable par l’ensemble des gens sans distinction et sans lui donner une signification particulière relevant d’une catégorie au détriment d’une autre. Parmi ces notions on note « le ça, le moi, le surmoi, le soi » ces notions interprètent des confusions lors de l’approche concrète des réalités quotidiennes concernant la communication qui est la base de toute transmission de paroles, de gestes, d’images ou encore d’enseignement d’arts et de culture.
« le ça, le moi, le surmoi, le soi » ces mots sont connus de tous et utilisés depuis la nuit des temps avec des nuances qui s’obscurcissent devant des explications contradictoires surtout devant d’étonnantes inversions sémantiques, qui sera traduites comme des éléments de synthèse maieusthésique, on trouve également le cognitivisme, le comportementalisme, et psychocorporel.
Du coté du traitement et étude psyché le « le ça, le moi, le surmoi, le soi » ne sont pas les seuls adoptant, un certain point de vues, on tourne vers la psyché qui peut-être possède plusieurs vues différentes mais elles contribueront à apporter un enseignement complémentaire. L’apparition de la psychothérapie intégrative est une évolution majeure dans les soins psychiques puisqu’elle est invitée à une telle variété de perspectives. Se questionner aussi souvent que possible, et chaque fois que le point d’interrogation se dessine dans le conscient de l’individu et qui revient poser son existence pat rapport au milieu de son environnement, bien sûr la question majeur est : mais qu’est ce que je dois faire maintenant? Ou encore que dois-je faire maintenant ?
Ecrire une dissertation ou définir un concept, on peut s’en sortir brillamment, mais ça n’allait pas trop loin, puisque l’interception des moments difficiles de notre existence y parviennent à submerger le présent de l’individu.
Ce pendant deux choses à observer :
a) l’habitude fâcheuse que l’on a de confondre l’objectal (terme qui s’occupe des objets)
b) l’existentiel (terme de qui s’occupe de la vie, et des individus).
Au passage rappeler Sigmund Freud, est rendre à ce savant le mérite de dévoiler les secrets profonds de l’individu dans l’éducation et sa façon de conduire l’enfant ou la fille jusqu’à la maturité. (Ça, moi, surmoi) Ces éléments parviennent de ce que Sigmund Freud a nommé sa deuxième topique, qui signifie lieux ex : topologie, topographie, ce ci désigne les lieux psychiques distincts, la première topique chez Sigmund Freud est (conscient, inconscient, et préconscient).
Après cet aperçu sur l’ensemble des éléments psychiques cités précédemment, je m’attache à ne traiter que le moi, pour la simple raison, que ce mot est répété des millions de fois par jour à travers le globe terrestre dans toutes les langues et dialectales des peuples aux quatre coins du monde sur les cinq continents. Ce mot « le moi » prête une large confusion allant de l’élève qui désire répondre à une question en classe pour marquer devant ses amis et son instituteur son savoir de ses leçons, ici en ne peut dire que cet enfant se vente à l’égard de son auditoire, puis vient le responsable indépendamment de la nature de sa fonction professeur, directeur, parlementaire, décideur, ministre, ouvrier etc. Qui se distingue de ses collègues ou de son entourage, par le privilège que le mérite lui revient de droit en disant que grâce à « moi » j’ai sauvé la compagnie, ou grâce à « moi » j’ai déployé des efforts énormes pour gagner …..Donc nous remarquons que ce mot se répète une multitude de fois sans prendre conscience de sa sonorisation chez autrui.
« le moi » est toujours estimé et voulu par des personnes que le prestige leur fait bonheur.
« le moi » est le symbole de conformité de l’homme ou de la femme dans la société qu’on garde mutuellement son identité sociétale pour y en faire usage lorsque l’occasion se présente pour s y faire de l’éloge.
D’autre part une grande part de ce que peut on appeler ici la vanité est présent dans les discutions qui donnaient des valeur à l’orateur en appuyant sur
« le moi » qui même être à l’origine des conflits intercommunautaires et internationaux, il est expliqué aussi par l’égoïsme qui lui donna l’idée de se placer en égocentrique, c'est-à-dire le pivot des intérêts que l’individu en question lui réserve
« le moi » qui devient une partie intégrale de la personnalité cherchant l’intérêt privé de son égoïstement, cet état de psychique à toute les chances de se développer en maladie snobinarde, que traite la psychothérapie intégrative, pour éviter de tomber dans l’inconscient de sa personnalité, et pour éviter aussi de se traiter des comportements d’égotisme et de s’enorgueillir de son savoir faire.
Mon humble participation vise à vulgariser ce phénomène « le moi » qui est le langage de plusieurs parmi nous avec une répétition quotidienne infaillible, ce ci n’exclut guère que son utilisation par occasion ne se qualifie d’exagération.
Je dirai aussi que son utilisation avec modération ne pèse pas lourdement sur le développement de l’esprit individuellement des gens concernés par cet abus qui s’inscrit dans la rubrique des qualificatifs non souhaitables et non conforme à l’attitude à adopter envers sa société et envers ses concitoyens.
Vos commentaires sont toujours les bienvenues.

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