dimanche 30 janvier 2011

LE CELIBAT PROLONGE TUE L’ESPOIR

Le mariage est un acte qui se conjugue au pluriel, il est cité dans les livres sacrés (coron, évangile ), c’est un accord, et une liaison qui se veut sacré entre deux personnes de sexe opposé, l’accord des familles concernées est souhaitable, voir même obligatoire, mais à défaut d’autres solutions sont envisageables telle que la substitution de l’un des oncles aux parents biologiques si un désaccord y lieu surtout du coté de la jeune fille. Une relation entre un homme et une femme doit être sanctionnée inévitablement par l’établissement d’un acte dite « acte » de mariage sous l’égide et le témoignage de deux adoul, c'est-à-dire le feu vert pour la formation et la fondation d’un foyer basé sur la religion « islamique, chrétienne ». L’âge du mariage recule d’une année à l’autre, il est poussé au-delà des 29ans pour les deux sexes, ce ci est valable pour presque tous les pays arabes, exception faite des familles riches, qui ne souffrent pas des problèmes économiques, dans la plus part des temps, cependant, les chiffres indiquant le retard de l’âge de la célébration du mariage, sont révélateurs d’un problème aux conséquences multiples : les jeunes hommes et jeunes filles qui sont à l’âge du mariage, vivent avec leurs parents, ou en solo, ou encore en concubinage, s’en tenir aussi aux interdits et aux talons, et mené une vie sexuelle jugée plus épanouissante. Le célibat est un film à deux protagonistes, et il n y a aucun prototype de « femmes et hommes célibataires ». La duré des études en terme d’années, le phénomène de l’émigration excessive qui s‘ajourne par la rentré au bercail en quête d’une éventuelle épouse. Dans le même ordre d’idée le choix du futur marié cherche principalement une épouse dont la priorité est donnée aux filles nymphes, vierges et innocentes, ce ci est une garantie pour une meilleure fécondation et procréation, c’est la mentalité arabe et orientale ancrée qui l’emporte. Pour éviter les conséquences, et sauvegarder l’honneur des filles, celles-ci font suturer l’hymen avant le jour »j ». Cet asservissement imprégné par cette formule magique «marie, maison, bébé ». L’étiquette de vieille fille « عانس », porte des connotations plus fortes, c’est le dénigrement et la dévalorisation de la jeune femme non mariée qui ne jouit d’aucun statut social. Le regard impitoyable à son égard, le célibat prolongé est parfois interprété comme signe : quelconque anomalie, ou encore la conséquence d’une disgrâce physique, le doigt accusateur, et le regard réprobateur de la société afin d’éviter un célibat définitif par un mariage tardif. Enfin l’incompatibilité surgi, le cas des filles exigeantes, qui n’admettaient jamais un époux moins cultivés ou moins rémunérés. En réalité le mariage est basé sur un compagnonnage, sur la communication, et sur l’affection. Le mariage est un devoir de l’un vers l’autre. L’incitation à la construction mutuellement des foyers, et à la structuration de la société trouve ses origines dans la compréhension des gens envisageant la continuité de l’humanité, devoir humain.Et malgré tout c'est l'espoir qui l'emporte sur le risque de l'aventure.


2 commentaires:

  1. Complexés, ils vont vers des européennes.plus belles et moins rebelles il paraît. Les maghrébine couchent hors mariage elles ont raison. A 35 ans elles sont vides .vieilles. Les hommes sont des chiens.

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  2. Et pourquoi les filles sont bayra? On les oblige a être en "prison" et pas côtoyer les hommes ! C tout.Normal qu elles de rebellent!!

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