samedi 12 février 2011

L’Après les deux présidents

Le mois de janvier et février 2011 et tous les mois qui succéderont en début de chaque année est un mauvais signe pour les deux présidents Ben Ali le tunisien, et Moubarak l’égyptien, les hommes ont quitté leurs pays respectivement la Tunisie et l’Egypte sous les ténèbres des nuits de janviers et fevrier2011, cette année qui était un début de cauchemar. Les tunisiens et les égyptiens ont chassé leurs présidents hors de leurs vus. Le facteur commun entre des hommes a gagné par excellence la colère de leurs citoyens. On est en face de deux hauts responsables qui ont été chassé de leurs pays par leurs compatriotes qui n’ont pas servi durant leurs gouvernances, qui se varie entre 23 et 30 ans de règne. Mais on peut déduire quelques observations au passage. Les peuples vivent dans l’état d’urgence. Le multipartisme est enterré à jamais, une opposition décor le paysage politique à la taille de leurs volontés. Les portes grandes ouvertes des prisons pour y en contenir les vrais opposants contre les régimes Les populations vivaient dans une précarité sans équivalence, presque de l’avant histoire. Leurs mains sont mises sur les médias pour garantir la pérennité des affaires souvent louche. Dans les deux pays le revenu par habitant ne dépasse nullement 1 dollar le jour, 40% des populations étaient classés et placés sous le seuil de la pauvreté. Souvent des aides ne satisfaisant pas les besoins primordiaux des familles qui souffraient le martyre pour garder leurs enfants vivants loin de la mort par la famine. D’autre part une minorité d’amis et des proches des présidents possèdent l’argent, le pouvoir, pour influencer toute personne critiquant les régimes en question. Les populations ont respiré la liberté, le bien être, l’existence, et aspire d’épouser la démocratie à vie, la vraie naissance du multipartisme est imminent, de nouvelles sociétés sont nées grâce aux efforts des jeunes hommes dans leurs totalités âgés de moins de 30ans. Les deux pays s’organisent progressivement, pour rétablir la confiance perdue dans les précédents régimes. Grâce à l’intervention des jeunes qui ont conduit les deux peuples à la liberté, il ressort ce qui suit : à titre de reconnaissance, épargner à l’Iran une éventuelle agression israélienne contre ses bases civiles et militaires, encourager les multiples blocus, éviter aux libanais des incursions et invasion du territoire, pilonner gaza et la colonisé dans le but de mettre fin au régime du Hamas. D’autres pays ont pris les sonnettes d’alarme au sérieux la Jordanie, proclame un nouveau gouvernement, le roi reçoit les représentants en question. La Turquie suspend ses relations économico-militaires avec Israël, ces changements n’auront jamais la possibilité de voir le jour si les contestataires n’existaient pas ) En conclusion, les deux présidents sont en exil, je ne pense pas qu’ils sont prêts à revenir même dans plusieurs futures décennies. Leurs dettes sont lourdes à régler, ils doivent passer obligatoirement devant la justice pour y répondre de leurs actes. Le soleil de leurs pays n’a ni équivalence ni ressemble à aucun d’autre dont ils seront privés à vie. Aimer son pays et le servir est un devoir national et religieux. Avec l’argent volé, dérobé et détourné au détriment des pauvres citoyens ne compensent pas une nuit loin de son pays. Ce ci marquera le début d’une souffrance intense loin des siens, Dieu nous épargne ces malheurs.

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