vendredi 1 avril 2011

La science peut-elle devenir un cauchemar ?

De jour en jour les informations qui nous parviennent du japon par l’intermédiaire des médias sont d’une rareté remarquable. Les autorités japonaises ne divulguent pas le contenu global de la situation et le risque que courent les citoyens et les étrangers au même titre que les nationaux. Les médias sont très mal informés de la vraie situation qui prévaut dans la zone sinistrée et aux à l’entoures. Un bloc out est cimenté autour des sites en endommagés, sous peine de déclencher une panique monumentale et encourager un exode vers d’autres villes à l’abri des radiations dont le chiffre dépasse 4000 fois l’énorme autorisée mondialement. Eviter la panique populaire n’autorise pas les autorités de cacher la vérité de l’état exacte des nucléaires. Malgré le développement imminent dont témoigne le monde entier pour les japonais dans les domaines scientifiques, économiques, industrielles. Le japon est un pays classé troisième mondialement dans le domaine de la technologie, en plus c’est une puissance économique, membre à part entière dans les G8 et G20. Etant donné les choses sont ce qu’elles sont peut-on penser que la science peut-elle devenir un jour un cauchemar ? En observant ce qui se passe autour de nous c’est à dire dans le monde entier, peut-être que l’humanité est au seuil d’un échec technologique universelle. Je pense que la maitrise des moyens de contrôle est inadéquate, puisque le tsunami a fait parler de lui à l’échelle internationale, parce qu’il a dévasté et détruis le travail de plusieurs années, sans compter le prix de revient des ces stations et les plans des projets qui étaient parallèlement visés par les autorités détenteurs des pouvoirs publics. Je ne désire guerre que la technologie devient un jour une malédiction, un châtiment pour l’humanité. La technologie doit par principe faciliter la vie aux citoyens, et il faut quelle soit au service de l’homme. Mais à devenir une dangerosité permanente pour le pays, pour le continent et vraisemblablement le monde entier. La crise de la cendre sur l’Europe n’est pas loin de nous, avec tous les dégâts économiques résultants des nuages qui empêchaient même les avions de voler, elle les a cloués au sol. Le monde ne veut pas courir de risque. La terre appartient à tous les hommes du monde, sa sauvegarde est un devoir mondial, et universelle, personne ne possède le monopole de la destruction de notre univers. Aux gens responsables et consciencieux de juger l’opportunité, la qualité des technologies avancée pour nous éviter une catastrophe. Que Dieu nous sauvegarde tous ensemble.

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