Un peuple pris en otage.

Depuis le 17 février 2011, le peuple libyen ami et frère est sous les feux sans pitié du colonel Kadhafi et de ses pros militairement bien équipés, contre le peuple libyen dont une partie on lui a interdis la parole sous peine de répression violente de la part de ses partisans éparpillés dans l’ensemble du pays. Parmi les ruses du leader, son aviation militaire bombarde violement les cibles vitales pour l’occidentale. C’est ainsi il prend en cible les sites pétroliers et accuse sans scrupule les révolutionnaires de tel acte condamnable vis-à-vis de la communauté internationale. Rendre les villes et villages en un état de gravats inhabitables, dans un décor désolant sinistre, les mosquées, les hôpitaux, et les habitations n’ont pas échappés à l’artillerie terrestre lourde de ses troupes. Le but du colonel est de pousser les civiles à exonder vers d’autres régions plus calmes sous son autorité pour créer la panique et le désordre dans le pays avec l’espoir de dresser les uns contre les autres. Cette image est son but pour démonter aux occidentaux que les insurgies ont mis les populations civiles hors de leurs zones vitales, par conséquent ils ont besoins d’aide, et vous êtes obligés de le faire pour sauver des vies humaines. De cette façon il gagne sur le plan militaire et reçoit en même temps l’aide dont il a besoin pour satisfaire ses combattants. Mais hélas son projet est tombé à l’eau, personne de la communauté internationale ne croit guerre le champion. Il est à découvert devant les instances mondiales à cause de ses vulgaires mensonges qui auront sans doute des conséquences funestes dans les prochaines jours et semaines. Des survivants qui ont échappé à l’enfer témoignent que les troupes militaires du régime volent les cadavres des morts des hôpitaux et ceux des champs de batailles, conduit aussi les blessés vers des destinations inconnues, violent les femmes. Ces actes ont pour objet de dissimuler les preuves de sa culpabilité devant l’opinion universelle, qu’ils essaient en vain de coller aux dos des protestataires. Utiliser des armements lourds contre les manifestants armés légèrement est un crime contre l’humanité. Kadhafi père et fils ne défendent que leurs intérêts personnels et familiaux. Pour en venir à bout tous les moyens sont bons pour sortir de ce calvaire, où il s’y est engouffrés .monsieur le colonel gérait depuis 1969 la Libye comme étant une ferme, et propriété de la famille.les libyens n’ont pas le droit de regard sur les revenus du pétrole. Il est le seul décideur. cet homme tue les libyens en désaccord avec ses opinions, c’est un criminel par excellence. Le colonel a en brasé le pays comme il le disait au début de ces événements. En tout état de cause il a pris le peuple libyen en otage. Devant le colonel en cours de déchéance inévitablement trois solutions pour sortir de cet engouement et mettre fin à cette galère : - quitter la Libye vers un pays d’exile de son choix – se donner la mort (se suicider) –se rendre à l’évidence et se constituer en prisonnier. Sans désolation sur sa personne, et celle de sa famille dont l’un d’eux joue le rôle de prince héritier de la Jamahiriya libyenne. Le pays sentait le besoin dans tous les domaines vitaux de la société, malgré les revenus colossales du pétrole le pays souffre du sous équipement, et sous développement ; plus de 30% vit sous le seuil de la pauvreté. Kadhafi est un mauvais gestionnaire de l’état, il est aussi le gaspilleur de l’argent de l’état, ajouter à ce phénomène propre aux kadhafis les scandales moraux de ses fils à l’étrangers en l’occurrence l’Europe dont certains hôtels leurs interdisons clairement l’accès. Le gaspille de l’argent de l’état coule dans le sang des kadhafis de père en fils. A l’aube du troisième milliaire, et vu le développement des pays modernes, il serait souhaitable de voir les nôtres au même titre que les siens. Toute acte de malversation ne doit rester in condamnable, pour éviter l’évasion de l’argent une étroite surveillance sur les biens de l’état fait partie de la responsabilité des décideurs qui sont au sort des pays surtout arabes.